
-
Le Vatican publie une photo du pape recevant Charles et Camilla
-
Xanax, Lexomil ou Temesta: il ne faut pas en abuser, alerte l'agence du médicament
-
Daher mise sur les thermoplastiques pour décarboner l'avion
-
La demande d'électricité pour les centres de données devrait plus que doubler d'ici 2030, dopée par l'IA
-
Le Soudan et les Emirats arabes unis s'affrontent devant la CIJ
-
Vencorex retient son souffle avant une décision de justice cruciale
-
Coup d'envoi jeudi de la campagne de déclarations de revenus de 2024
-
Affaire Evaëlle: l'heure du jugement pour l'enseignante accusée de harcèlement
-
La constellation satellitaire d'Amazon va prendre forme... mais pas tout de suite
-
Le 78e Festival de Cannes dévoile sa sélection officielle
-
Le budget voulu par Trump retardé par des républicains récalcitrants
-
Les députés entament dans la douleur l'examen du projet de loi simplification
-
Une rare oeuvre de Paul Signac aux enchères à New York en mai
-
Droits de douane: Wall Street s'envole après de nouvelles annonces de Trump
-
Argentine: Milei entre la colère sociale et le salut du FMI
-
C1: le FC Barcelone corrige Dortmund et se rapproche des demi-finales
-
La France pourrait reconnaître l'Etat palestinien "en juin", dit Macron
-
Wall Street en très forte hausse après la pause de Trump sur certains droits de douane
-
C1: Désiré Doué et Khvicha Kvaratskhelia, artistes en démonstration
-
RDC: "The Herds", un troupeau de marionnettes en marche pour le climat
-
Foot/C1: le PSG impressionne encore face à Villa (3-1)
-
Argentine : troisième grève générale pour Milei, en attendant la manne du FMI
-
Droits de douane: la France revoit en baisse sa prévision de croissance pour 2025
-
Macron souhaite que la France reconnaisse l'Etat palestinien "en juin"
-
Au Pakistan, l'étau se resserre autour des migrants afghans
-
L'opposition turque ira "jusqu'au bout" face à Erdogan, affirme son chef à l'AFP
-
Des élus républicains menacent de retarder le budget voulu par Trump
-
"Terrifié", un secouriste de Gaza raconte l'attaque israélienne qui a fait 15 morts
-
Des Chinois pourraient se détourner des produits américains
-
L'Irak signe un accord avec GE VERNOVA pour la production de 24.000 mégawatts d'électricité
-
Zelensky juge que Moscou "entraîne" Pékin dans sa guerre en recrutant des combattants chinois
-
Tchad: détention provisoire prolongée pour un correspondant de RFI
-
Perrier: l'appellation "eau minérale naturelle" en jeu après l'avis "défavorable" d'experts
-
Objectif Mars: le probable futur patron de la Nasa veut privilégier la planète rouge
-
Chlordécone aux Antilles: au Sénat, des débats sur l'indemnisation des victimes terminent dans l'indignation
-
Pékin savait que des Chinois étaient recrutés pour combattre l'Ukraine, accuse Zelensky
-
La vie du prince Harry est en jeu, prévient son avocate en clôture de l'audience sur sa sécurité
-
L'Allemagne prête à affronter "des défis historiques" avec une nouvelle coalition
-
Passe d'armes diplomatiques entre Chine et Etats-Unis autour du canal de Panama
-
Incendies et pollution au Népal avec le changement climatique
-
La Bourse de Paris ploie sous l'escalade de la guerre commerciale
-
Masters 1000 de Monte-Carlo: Tabilo coule Djokovic, Alcaraz s'en sort en trois sets
-
Pour protéger les oiseaux, la justice met à l'arrêt un deuxième parc éolien en trois jours
-
Droits de douane: les marchés financiers emportés par la nouvelle escalade commerciale
-
Masters 1000 de Monte-Carlo: Novak Djokovic éliminé dès son entrée en lice
-
La guerre commerciale mondiale est déclarée
-
Pékin rejette les accusations de Kiev selon lesquelles de nombreux Chinois combattent pour la Russie
-
Chikungunya à La Réunion: "épidémie généralisée et majeure", qui continue de progresser
-
Charles III héraut de la paix en Italie pour ses 20 ans de mariage
-
La constellation satellite d'Amazon va enfin prendre forme

L'exécutif accélère sa rentrée mercredi à l'Elysée
Emmanuel Macron donne mercredi un coup d'accélérateur à la rentrée de l'exécutif en présidant un séminaire gouvernemental sur ses grandes priorités à l'Elysée, suivi d'un Conseil national de la refondation (CNR) le lendemain.
Le premier Conseil des ministres de rentrée, le 23 août, est déjà loin. Le président, jamais avare de nouveaux formats de consultation, a depuis réuni les chefs des partis politiques le 30 août à Saint-Denis.
Mercredi matin, le traditionnel Conseil des ministres sera suivi d'un séminaire gouvernemental destiné à dérouler la feuille de route parlementaire de la majorité "sur l'automne jusqu'au budget 2024", indique-t-on dans l'entourage du président.
Avec en ligne de mire une possible motion de censure contre le gouvernement d'Elisabeth Borne lors du vote sur le projet de loi de Finances 2024 à l'Assemblée.
Une épée de Damoclès qui pourrait bouleverser le cours d'un quinquennat déjà largement contrarié par l'absence de majorité absolue pour Emmanuel Macron, avec à la clé un risque de dissolution de l'Assemblée.
D'ici là, le chef de l'Etat se concentre sur la recherche de compromis possibles autour de ses quatre priorités, l'éducation, la santé, la planification écologique et l'ordre républicain après les émeutes urbaines du début de l'été.
Emmanuel Macron, qui considère que les 12 heures de sommet avec l'opposition à Saint-Denis sont un succès à reproduire, doit encore synthétiser ces échanges dans une lettre aux participants.
Lesquels commencent à s'impatienter. "Il y a travaillé ce week-end, c'est en cours de finalisation", assure-t-on dans son entourage, en rappelant qu'aucun collaborateur n'était présent lors de la rencontre et que donc lui-seul peut rédiger le document.
- "Pour quoi faire?" -
En attendant, "on est sur un séminaire traditionnel de rentrée, pas sur un suivi thématique de Saint-Denis", relève une source gouvernementale, contrairement à ce qu'avait annoncé initialement le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.
"Il y aura aussi une présentation par pôle ministériel des grands sujets", explique ainsi un ministre en égrenant sa propre feuille de route pour le trimestre à venir.
Autre rendez-vous, jeudi, Emmanuel Macron présidera pour la troisième fois un Conseil national de la refondation (CNR) depuis sa première édition en septembre 2022, consacré cette fois à l'éducation.
Problème, cet autre outil macronien destiné à "bâtir des consensus nationaux" en réunissant forces politiques, partenaires sociaux, représentants des entreprises et associations sera de nouveau boycotté par les oppositions et une partie des syndicats.
La CGT a annoncé mardi qu'elle ne se rendrait pas au rendez-vous, rejoignant ainsi deux autres syndicats représentatifs (Force ouvrière et CFE-CGC).
"Un CNR pour quoi faire ?", s'interroge Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, "quand dans le même temps, la Première ministre annonce qu'elle va continuer à recourir au 49.3 et que le président de la République refuse d'organiser un référendum sur les retraites".
Méconnu des citoyens, le CNR peine à s'ancrer dans le paysage politique, au point de susciter des interrogations sur son avenir.
"Ce n'est pas la fin (..) pas une deuxième naissance non plus. C'est plutôt pour faire un point sur ce qui est déjà fait", résume la source gouvernementale citée.
Un conseiller de l'exécutif préfère de son côté mettre l'accent sur les CNR locaux, plus efficaces selon lui pour identifier des projets concrets. "Dès le départ, la plénière a fait l'objet d'instrumentalisation et de postures politiques", déplore-t-il.
E.Rodriguez--AT