Arizona Tribune - Pass vaccinal: le délai réduit à 4 mois pour la dose de rappel au Journal officiel

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Pass vaccinal: le délai réduit à 4 mois pour la dose de rappel au Journal officiel
Pass vaccinal: le délai réduit à 4 mois pour la dose de rappel au Journal officiel

Pass vaccinal: le délai réduit à 4 mois pour la dose de rappel au Journal officiel

Le délai maximal réduit à quatre mois pour faire la dose de rappel de vaccin anti-Covid après la dernière injection est inscrit dans un décret publié au JO mardi, jour d'application des nouvelles règles pour conserver un pass vaccinal valide.

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Le délai maximal pour ce rappel était jusqu'ici de sept mois.

Autre changement, pour certains Français ayant été contaminés: "Une infection à la Covid-19 équivaut à l'administration de l'une des deux premières doses ou de la dose complémentaire", selon ce décret du 14 février lié à la gestion de la sortie de crise sanitaire, signé par le Premier ministre Jean Castex et le ministre de la Santé Olivier Véran.

C'est la traduction du principe "une infection = une injection" énoncé par le ministre de la Santé début février.

Selon les estimations des autorités sanitaires, entre 4 et 4,5 millions de personnes sont susceptibles mardi de perdre leur pass vaccinal faute de rappel ou d'infection.

Le pass vaccinal pourra être réactivé lorsque la personne aura fait son rappel, et sera valide sept jours après l’injection, selon la Direction générale de la santé (DGS).

La présentation d'un pass vaccinal est requise pour les plus de 16 ans pour accéder à certains lieux ou événements. Les Français de 16 et 17 ans n'ont pas l'obligation de faire un rappel pour conserver leur pass vaccinal, et les plus jeunes ne sont pas soumis au pass vaccinal.

Mais ces règles pourraient être modifiées prochainement. Une levée du pass vaccinal est envisageable "d'ici la fin mars" ou début "avril", a estimé la semaine dernière Alain Fischer, le "Monsieur vaccin" du gouvernement.

A condition que le taux d'incidence s'avère "10 ou 20 fois moindre" qu'actuellement, que la surcharge hospitalière touche à sa fin et qu'une très forte proportion de Français soient vaccinés, selon lui.

N.Mitchell--AT